L’association malienne des droits de l’homme s’inquiète de la lenteur des procédures engagées contre les auteurs d’exactions commises en période de conflit.
Elle met en garde contre la vengeance dont pourraient user les victimes qui douteraient de l’efficacité de la justice.
Pour garantir son indépendance, l’association estime que le politique doit éviter de se mêler des procédures judiciaires. Maître Moctar Mariko, Président de l’AMDH est au micro de Mahamane Almaimoune.
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