Va-t-on vers une autre suspension du service de l’assurance maladie obligatoire dans les pharmacies et laboratoires, après celle de 2019 ? En tout cas, le syndicat national des pharmaciens du Mali et le syndicat autonome des pharmacies et officines privés ont adressé une correspondance au ministère de la santé et du développement social. La note indiquent qu’ils suspendront les prestations pour le service AMO à partir du 1er mars, si leurs arriérés ne sont pas payés. Pourquoi ces retards récurrents de payements des structures privées prestataires du service AMO ? Comment éviter une éventuelle suspension ? Comment les assurés apprécient le service AMO ?
Le grand dialogue s’intéresse à ces questions aujourd’hui avec nos invités
Souhel Moulaye, secrétaire général du syndicat national des pharmaciens du Mali ;
Cheick Coulibaly, président de l’association des assurés de l’AMO ;
La CANAM (caisse nationale d’assurance maladie) n’a pas répondu à l’invitation.
Écoutez l’ intégralité de l’émission Grand Dialogue :