Considéré dans certaines communautés comme un moyen d’asservir la sexualité des filles ou garantir la chasteté et dans d’autre communauté comme un prérequis au mariage. Oui les mutilations génitales sont connues être nocives. Malgré cela, la pratique de l’excision persiste encore dans les pays du Sahel comme le Burkina, le Mali et le Niger.
Aujourd’hui les studios Kalangou, Yafa et Tamani posent le débat dans la capitale malienne Bamako. Pourquoi les mutilations génitales féminines continuent au sahel ?
Nos invités sont :
- Amadou Diadié Sangho, Homme de Culture ;
- Bréhima Ballo, Association Malienne pour le Suivi des Pratiques Traditionnelles,
- Diodo Diallo, Spécialiste en santé sexuelle et reproductive,
- Mme Traoré Ramata Coulibaly, membre de la CAFO (Coordination des Associations et Organisations Féminines)
Écoutez l’ intégralité de l’émission Grand Dialogue :