• Bamako et les groupes armés maliens ont débuté à Alger un difficile deuxième round de négociations pour tenter d’amener la paix dans le nord du pays. « J’espère, obtenir un pré-accord », a déclaré Modibo Keïta, représentant du chef de l’État malien à ces négociations.
• Le gouvernement lui, mise sur un accord préliminaire de paix avec les séparatistes touareg dans un délai de huit semaines. C’est ce qu’ a annoncé le ministre malien des Affaires étrangères avant l’ouverture des négociations en Algérie.
• Pour beaucoup les enjeux de cette deuxième phase des négociations sont de taille. Ousmane Cornio, spécialiste des questions de sécurité et gestion des conflits estime que la clé des discussions réside dans la capacité à signer un accord durable.
• A Tombouctou, ville qui a beaucoup souffert pendant la crise, les populations se réjouissent de la reprise des négociations. Les habitants souhaitent qu’elles puissent enfin aboutir à une paix définitive.

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