La jacinthe d’eau ou « Bagha », en langue locale constitue un facteur majeur de pollution de l’environnement. Mais la plante constitue aussi un goulot d’étranglement pour les exploitants du fleuve. Certains ne parviennent plus à exercer convenablement leurs métiers. Et pourtant, ce poison des eaux peut constituer une solution de compostage selon des chercheurs.
Ce magazine est une réalisation de Fati Yattara
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