La communauté internationale s’inquiète sur certains points importants qui séparent les deux parties dans les négociations à Alger.
Les groupes armés estiment qu’il est indispensable que le nom Azawad soit reconnu dans l’accord et ils insistent sur une autonomie de gestion des régions du nord. Ces propositions sont rejetées par le gouvernement malien.
Selon le Professeur Issa N’diaye, dans le document de synthèse présenté par la médiation, il y a des pièges qu’un gouvernement responsable ne doit pas signer.
Joint au téléphone, il répond aux questions de Oumar Waïgalo.
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