A Bourem, le riz se fait de plus en plus rare sur le marché en cette période de cherté de la vie. Selon des sources locales, le sac de 50 kilogrammes de riz qui était vendu à 17.500 FCFA, il y a quelques jours, est actuellement cédé entre 21.000 et 22.000 FCFA dans la ville. Les commerçants expliquent la situation par la décrue de l’eau qui rend difficile la navigation et l’insécurité sur les voies routières. En attendant, les populations se contentent de la brisure de riz de 25 kg importée du Niger.
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