Après la démission du Président Ibrahim Boubacar Keita, si la vie a repris son cours normal à Kati, tel n’est pas le cas à Bamako où certains services publics et privés sont restés fermés ce mercredi. La population s’inquiète de la suite des évènements.

Le coup d’état intervient dans un contexte où la situation sécuritaire du pays est fragilisée. Selon des observateurs, la vigilance doit être de mise, afin d’éviter au pays d’être à la merci des groupes djihadistes.

Les femmes n’entendent pas rester en marge face à la situation actuelle du pays. Selon les responsables de WILDAF-Mali les femmes doivent s’engager pour un Mali nouveau.

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