A Dioïla, moins de 30% des filles sont excisées maintenant, selon des sources locales. Elles estiment que c’est grâce aux campagnes de sensibilisation que l’excision est de moins en moins pratiquée aujourd’hui dans plusieurs localités du pays.
Le constat est partagé par Mme Diakité Aminata Diakité. Suivons son portrait réalisé dans le cadre du projet “Droits des femmes” de Studio Tamani en partenariat avec l’IMRAP et financé par l’Union Européenne.
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