Pour protéger les filles contre les dangers liés à l’excision, Hawa Ballo a abandonné la pratique. Âgée d’une cinquantaine d’année, elle se concentre aujourd’hui sur le maraichage dans sa localité à Dioïla, région de Koulikoro. Selon elle, sa nouvelle occupation est moins rentable que l’excision, mais elle pense avoir fait le bon choix.
Ce portrait est réalisé dans le cadre du projet “Droits des femmes” de Studio Tamani en partenariat avec l’IMRAP et financé par l’Union Européenne.
Ci-dessous écoutez le magazine en intégralité :
Le Magazine: Télécharger