Un an après la signature de l’accord pour la paix, les différentes parties dénoncent la lenteur dans sa mise en application. Pour certains analystes, le processus suit son cours normal.
Toutefois, pour le retour effectif de l’État à Kidal « il faudrait que les autorités restaurent la confiance entre toutes les parties en vue d’aboutir à une paix durable».
Boubacar Bocoum, analyste et politologue à l’Université du Mali est joint au téléphone par Idrissa Sako
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