L’accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d’Alger a bientôt un an. Pourtant son application fait face à des obstacles, notamment le retour des réfugiés, la construction des sites de cantonnement, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants.
Pour certains observateurs, les parties doivent tirer les leçons de ce retard et accélérer le processus. Dramane Diarra, président de « L’Alliance des générations démocratiques ». Il répond aux questions de Siaka Z. Traoré.
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