• Signature de l’accord pour la paix et la réconciliation hier par la Coordination des groupes armés. Un acte qui vient sanctionner neuf mois de discutions inter-maliennes. Pour les autorités du pays, il s’agit à présent de s’atteler à la mise en œuvre de l’accord.
• La Coordinations des Mouvements de l’AZAWAD estime elle aussi qu’il faut maintenant passer aux actes. « La signature seule ne suffit pas. Il faut que toutes les parties respectent leurs engagements », disent les responsables de la CMA. Pour eux, « il est important de rétablir la confiance entre les différentes parties ».
• Coté plate-forme, on estime qu’il faut cette fois-ci donner une chance à la paix tout en reconnaissant que la mise en œuvre de l’accord ne sera pas facile. Les mouvements de la plate-forme se disent engagés pour la paix.
• Quant à l’opposition malienne, elle se dit pessimiste pour ce qui est de la mise en œuvre de l’accord. Selon elle, « le Mali ne pourra pas honorer les engagements pris dans ce document ». L’opposition trouve que « l’accord contient des germes de partition du pays ».

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