Aujourd’hui nous parlons du « statut de l’opposition, quels changements pour le Mali ».
Les autorités maliennes tentent donc, de donner un réel statut à l’opposition du pays. Le projet de loi sur la question, est passé mercredi dernier au conseil des ministres.
Cette nouvelle formule politique va permettre à l’opposition politique d’avoir un réel statut avec en prime l’institutionnalisation d’un chef de l’opposition. Celui-ci sera le porte-parole de l’ensemble des partis de l’opposition. Il sera également consulté par le président de la République et le premier ministre.
Selon des confrères, cette loi est pour le moment diversement appréciée. Si pour certains il s’agit d’une avancée démocratique qui met le Mali au diapason des grandes démocraties, d’autres estiment tout simplement qu’il s’agit d’une manière caché d’inviter l’opposition autour du gâteau national pour la faire taire.
Trois axes comme d’habitude :
- Qu’apporte ce nouveau statut passé au conseil des ministre ?
- Les critères de désignation du chef de fil de l’opposition;
- Les prérogatives compris dans le nouveau statut de l’opposition.
Nos invités :
- Souleymane Ouattara, de l’Alliance Pour le Mali (APM), de la majorité;
- Moussa Badiaga du parti Rassemblement Pour le Mali (RPM);
- Mody N’Diaye du Groupement de partis de l’opposition Vigilance Républicaine et Démocratique, élu à Barouéli.
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