« L’affaire des 46 mercenaires ivoiriens est une affaire judiciaire et bilatérale entre deux pays frères. Elle ne relève pas des attributions du Secrétaire Général des Nations Unies ». Cette déclaration du Premier ministre malien à l’ONU doit-elle inquiéter ou susciter de l’espoir quant à la résolution de ce problème entre le Mali et la Côte d’ivoire ? Quelques heures auparavant, la CEDEAO a demandé, je cite : « la libération sans condition des militaires ivoiriens », fin de citation. L’organisation sous régionale a annoncé l’envoi d’une délégation de chefs d’État au Mali. Y a-t-il encore des chances pour une résolution à l’amiable ? Comment éviter le pire dans ce dossier ?
Studio Tamani aborde le sujet dans le Grand dialogue avec :
Dora Cheick, membre du Parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’intégration (SADI) ;
Assétou Sangaré, membre du Parti pour le Renouveau et le Développement (PRD) ;
Mahamadou Doucouré, vice-président du Front Uni pour la Sauvegarde de l’Intégrité du Mali (FUSI-Mali) ;
Dr. Abdoul Sogodogo, universitaire et analyste politique.
Écoutez l’intégralité de l’émission Grand Dialogue :