« Il n’y a pratiquement plus d’arbres à Tinkolé dans le cercle de Dioïla. Nous avons tout coupé et aujourd’hui nous sommes frappés à plein cœur par les conséquences ». C’est ce qu’affirment certains habitants de la localité. Des spécialistes soulignent aussi que ce phénomène est une des causes de la baisse de la pluviométrie estimée entre 6 et 36% selon les régions du pays, au cours de ces 30 dernières années.
« Nous subissons les conséquences de nos actes », témoignent des femmes de la localité dans ce Magazine « Parlons de l’Environnement » réalisé et présenté par Mouhamadou Touré.
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