« Jusqu’à présent à Tombouctou, il y a des jeunes filles violées qui n’ont pas été déclarées ». C’est ce que nous révèle Mme Touré Gnamoye Wangara, Présidente d’une association des victimes à Tombouctou. Selon elle, cette situation serait due à des pesanteurs sociaux. Elle estime qu’il est difficile de soutenir les victimes dans ces conditions. Gnamoye Wangara rappelle également aux autorités que la réparation est un droit pour les victimes et non une charité.
Cette production est réalisée dans le cadre du projet “Droit des femmes” de Studio Tamani en partenariat avec IMRAP, financé par l’Union Européenne.
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